Salaün : L’homme qui préférait les rapports humains à la technologie
28 janvier 2015 Rédaction 4 commentaires Production autocar Royal Class, Châteaulin, croisière routière en Russie, de Brest à Vladivostok, Michel Salaün, Pont-de-Buis-lès-Quimerc’h, Salaün Évasions, Voyage du siècle 7022 vues
Michel Salaün est un homme qui ne laisse personne indifférent.
La grande majorité de ceux qui le côtoient l’aiment. Ses détracteurs le détestent. Lui, n’en a cure. C’est un homme hors normes. Généreux, chaleureux, affable, et bienveillant pour son entourage.
Un « ogre » qui dévore la vie et échappe à tout compromis, à tout stéréotype.
C’est surtout un grand professionnel passionné par son métier, attentif au moindre détail.
Si « le diable est dans les détails, Michel Salaün est certainement le grand Satan ».
Un homme passionné, éclectique. A la fois créatif et rigoureux. Un capitaine d’industrie qui connaît sur le bout des doigts tous les rouages de ses entreprises. Un entrepreneur qui sait parfaitement s’entourer de personnes compétentes.
Son parcours est à la fois classique et atypique. Il se situe entre tradition et originalité. Raison et passion.
A 23 ans, après avoir fait ses gammes dans tous les rouages de l’entreprise familiale. Il prendra les rênes de l’entreprise d’autocars fondée par son grand père en 1932.
Dès lors, il n’aura de cesse que de mettre en place une stratégie aussi réfléchie que cohérente. Rapidement, il cédera la partie transport. Pour se consacrer au tourisme.
Fier de ses racines, il est Breton. Finistérien, il restera.
Ses entreprises resteront établies à Pont-de-Buis-lès-Quimerc’h et à Châteaulin.
Puis, il définira des règles simples et efficaces qui correspondent parfaitement aux aspirations et aux besoins d’une clientèle parfaitement ciblée et fidélisée. Les voyageurs âgés de plus de 55 ans.
Le concept est précis. Pas d’effet d’annonce superflu ou tarabiscoté. Ce n’est pas le genre de la maison. Seulement des services concrets, fiables.
Les promesses sont faites pour être tenues, pour rassurer. Du voyage « à l’ancienne. »
Mais qui sait utiliser le meilleur de la technologie en tant qu’outil. Pas comme une fin en soi. Du bel ouvrage, avec, en point d’orgue, un grand respect pour le capital de l’entreprise : sa clientèle.
Le potentiel humain reste donc la valeur essentielle de l’entreprise. Le travail bien fait l’est tout autant.
Prise en charge des voyageurs depuis ou à proximité de leur domicile pour tous les produit labellisés Salaün Évasions ; Garantie du cours des devises ; Stocks aériens, essentiellement sur Air France.
Des voyages conçus et vendus par d’excellents professionnels qui informent, conseillent et prennent en charge les voyageurs.
Il dirige son entreprise tel un chef d’orchestre exécute sa partition. Connaît le nom et la position de chacun de ses collaborateurs.
Montrant l’exemple, il s’investit à leurs côtés. Sans répit.
Aujourd’hui, à 53 ans, Michel Salaün est le Président de la 7e entreprise française de tourisme. Un groupe cohérent qui affiche, avec au total 679 salariés, un volume d’affaires de 220 millions d’euros pour 210 000 clients.
Pour étayer ses ambitions, il a crée un réseau de distribution intégré de 104 points de vente (220 salariés) répartis au nord de la Loire et en Belgique.
La revente par des distributeurs agrées représente 55 % de ses ventes. Ce qui fait de lui le 1er voyagiste français à capital exclusivement familial.
Mais c’est un créateur, un entrepreneur au sens le plus noble du terme. Un homme de défi parfois qui peuvent paraître insensés à ceux qui le connaissent mal.
Si « l’homme prudent connaît ses limites et ne les atteint pas. L’homme sage repousse ses limites, sans les dépasser. »
Un exemple parmi d’autres, il a réalisé en 2014 une grande croisière routière en Russie « de l’Atlantique au Pacifique », de Brest à Vladivostok. Un circuit d’une durée de 50 jours en autocar « Royal Class » au tarif de 13 500 euros par personne.
Un voyage plébiscité par la presse et le public comme étant le voyage du siècle.
François Teyssier.
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4 commentaires pour “Salaün : L’homme qui préférait les rapports humains à la technologie”
Bonjour François, Serge et autres lecteurs et acteurs du tourisme,
Bravo pour votre réponse et pour votre article François.
En tant que lecteur et petit entrepreneur, j’apprécie de pouvoir lire, entendre et prendre connaissance d’un avis qui se revendique comme objectif. Si un publi-rédactionnel peut être remis en cause aisément, (il suffit de payer pour être vu et lu) la démarche de séduction est beaucoup plus difficile, et le journaliste, l’homme qui a pris le temps de découvrir, est libre d’avoir apprécié ou non la rencontre, le contenu de l’échange et de le retranscrire avec ses propres mots et son libre arbitre. j »envoie des clients via Salaün mais ne connaissais pas l’histoire de l’homme et de l’entreprise. Merci de cet article, continuez pour le plaisir et l’information de vos lecteurs. ceux qui n’aiment pas peuvent ne pas lire…
Hervé ROCLE – LYONPICURIEN
Serge,
J’aurai aimé savoir à quel détracteur je m’adressais. Mais qu’importe. Je note l’ anonymat démontre votre grand courage et votre clairvoyance.
Je suis tout à fait rassuré, car ce n’est pas vous, Serge x qui risquez de devenir journaliste. Vos quatre lignes contiennent tant de fautes d’orthographe que j’en suis navré pour vous. La critique est facile, « l’art » est plus difficile.
Non, ce n’est pas un « publi-reportage. » Mais, ayant eu le privilège de rencontrer Michel Salaün, j’ai découvert un homme étonnant et sympathique à qui je tenais à rendre hommage. Donner des faits, des données sur son entreprise fait partie de mes prérogatives.
Bien à vous,
François Teyssier, journaliste
François, mon nom est Dath, Serge Dath. Rien à voir avec le courage, je ne vois pas ou était le risque, je ne pensais pas que mon nom puisse changer le problème c’est tout, chacun sa perception du courage. Plus concrètement; encore une fois aucun jugement de valeur sur l’entreprise Salaün qui est une belle et bonne entreprise, il s’agissait juste d’un article qui se voulait journalistique et qui ressemblait plus à une publicité. Il était possible que je me sois trompé, dont acte. Malheureusement je viens de lire votre nouveau « très bon article » sur Pouchkine tours. Une marque de Salaün Holidays et je confirme mon message précédent.( fautes d’orthographes incluses désolé chacun son job) « Pouchkine Tours sera votre interlocuteur idéal. » c’est une longue publicité, contre laquelle je n’ai rien sauf qu’il faudrait marqué « Publicité » en haut de la page et expliquer ce qui vous motive c’est tout, cela rendrait la presse professionnel plus crédible et donc plus inintéressante..Toutes mes excuses si je vous ai choqué. Bien à vous.
Serge Dath
Aucun jugement de valeur sur la personne ou son entreprise mais sur l’article..rassurez moi c’est une pub payé ?? Ce n’est pas écrie par un journaliste mais par le conseillé en communication de l’entreprise en question ?? Ou alors le rédacteur a vu la vierge et il faut qu’il change de métier. Désolé mais marqué au moins « Publi rédactionnel » mais là, c’est à la limite de la propagande et c’est inquiétant dans une presse professionnel.