Sur l’île de Phuket, haut lieu du tourisme thaïlandais, les participants à l’édition 2014 de la Transasiatique ont encore vécu des moments forts.
Sur une jonque traditionnelle ou à dos d’éléphants, tous ont pu juger une nouvelle fois du niveau de qualité des prestations proposées par Asia.
[1]Nous voilà déjà au dernier volet du fabuleux triptyque de la Tansasiatique 2014 d’Asia. Après Bangkok, la capitale, après Chiang Mai, la rose du Nord, c’ est tout au sud de la Thaïlande que se sont retrouvés les heureux gagnants de cette opération incentive.
De Chiang Mai à l’ île de Phuket, il n’ y a que deux petites heures de vol. Mais l’on éprouve très rapidement le sentiment d’avoir changé de monde tout en restant dans le même pays.
Côté météo, après le ciel dégagé et le soleil qui avaient présidé à la dernière journée de visites, ce sont la pluie, le vent et la tempête qui ont accueilli à l’aéroport de Phuket la petite troupe des AGV du réseau Sélectour Afat. Mais croyez nous, il en aurait fallu plus pour troubler la bonne humeur ambiante.
[2]La découverte et l’ installation dans les chambres de l’Anantara Phuket Layan furent aussi de nature à faire oublier les exécrables conditions météo du moment.
Décidément, la chaîne hôtelière Anantara, partenaire de la Transasiatique, nous aura amené d’agréables surprises en agréables surprises durant ce séjour.
Dans la lignée des deux établissements précédents, ce dernier fleuron du groupe, tout juste porté sur les fonts baptismaux en début d’année, est une pure merveille.
[3]Niché à flan de colline sur la plage de Layan, loin de l’agitation des bruyants sites balnéaires qui jalonnent le tour de l’ île, cet Anantara séduira celles et ceux qui rêvent de conjuguer dans un cadre idyllique quiétude, confort et luxe.
Revigorés, toujours sous la houlette du duo Tissier/Oukil -surnommés les siamois d’Asia-, les participants ont pu se livrer en soirée à une nouvelle inspection.
En l’occurrence celle d’un autre établissement de caractère, le Twinpalms Phuket. C’est d’ailleurs là que s’est tenu un dîner, convivial, musical et… plutôt bien arrosé lui aussi.
En baie de Phang Nga, sur une jonque
Faut’ il y voir le résultat des vœux formulés par les agents de voyage lors de la Loy Krathong, lorsqu’ils ont délivré vers le ciel et la lune leurs lanternes de papier ?
Toujours est’ il que c’est avec le soleil qu’ils ont eu rendez vous le lendemain pour une mémorable journée en mer d’Andaman. Et quelle journée !
[4]Qui n’ a jamais rêvé de naviguer à bord d’une jonque traditionnelle dans cette baie de Phang Nga parsemée de pitons calcaires recouverts de végétation et passés à la postérité par la grâce d’un sujet de sa très Gracieuse Majesté, James Bond ?
[5]Qui n’ a jamais rêve de croiser au large de l’île de Pa Nak avec dans son sillage des dizaines d’aigles des mers ? De passer sous l’arche marine de la grotte de Tam Lod avant de poser le pied sur Khao Ta Pou comme l’avait donc fait Roger Moore il y a quarante ans de cela (dans « L’ homme aux pistolets d’or ») ?
[6]Sur une mer d’huile, servis par un équipage aux petits soins , les « transasiatiques » ont apprécié le confort et la qualité de la June Bathra 2.
[7]Malgré le plaisir éprouvé, ils ont tous tenu à quitter un moment leur jonque pour débarquer à Ko Panyee, le célèbre village lacustre plus communément dénommé dans le monde touristique le « village des gitans de la mer ».
A vrai dire, ils n’étaient pas seuls alors, Ko Panyee prenant des allures de stations du métro parisien aux heures de pointe…
[8]Revenus à bord de la June Bathra 2 glissant sous ses grandes voiles sur une mer d’huile, nos marins d’un jour eurent droit ensuite à un succulent déjeuner avec dorades et poulets au menu.
[9]
[10]Avant de goûter au plaisir suprême d’une baignade en mer.en face de l’île de Koh Lawa.. Que du bonheur.
Dans la jungle sur un éléphant
Force est de reconnaître qu’après une telle journée il s’avère souvent difficile de remettre pied à terre. Des images plein la tête, tous participèrent néanmoins à l’inspection d’un autre Anantara, celui de Phuket Villa. Encore une merveille et la confirmation du niveau de qualité des établissements de cette chaîne.
C’est au cours du dîner qui a suivi cette visite que Michel Tissier, le directeur des ventes d’Asia, a dressé un premier bilan de cette nouvelle édition de la Tranasiatique.
Entouré de son acolyte, Franck Oukil (délégué commercial sud-est) et des représentants des partenaires (Gilles Augeard pour la Thai, Marie-Lou Barazzutti pour Mondial Assistance et Larbi Sghaier pour le réseau Sélectour Afat), Michel Tissier n’a pas caché son plaisir tant tous les ingrédients ont été réunis pour faire de ce périple une réussite sans précédent.
[11]Mais après une dernière nuit tout aussi courte que beaucoup d’autres, il restait encore une journée à vivre pour nos Transasiatiques.
Cette fois c’est du côté de Chalong Bay au sud de l’île que les choses se sont passés. Avec une mémorable balade dans la jungle à dos d’éléphants.
La boucle était bouclée. Ne restait plus qu’à boucler… les valises pour rejoindre Bangkok par un vol domestique. Puis Paris, à bord cette fois encore d’un Airbus de la Thai.
Assurément les 14 participants à cette aventure auront ramené dans leur tête beaucoup de souvenirs partagés et de moments forts en émotion.
Les valises étaient bien pleines, elles aussi, et la nouvelle politique en matière de poids de bagages chez la Thaï a fait beaucoup d’heureuses.
Il est 02h50 (20h50 heure de Paris) à bord du vol TG 930 de Thaï Airways. Nous volons à une altitude de 11 582 m et à une vitesse de 850 km/h, quelque part au dessus de l’Inde.
Au pont supérieur, c’est le grand calme et l’heure de récupérer.
Pour nous, il est tant de clore le chapitre, et de vous envoyer, en même temps que les rêves de voyages les plus fous avec Asia, ce dernier chapitre d’une Transasiatique magique.
Transmis par Jean BEVERAGGI,
depuis le vol TG 930 de la Thaï,
grâce au système Wifi « Thaï Connect Sky »