Une Cendrillon moderne de la cocaïne arrivée, puis repartie. Les forces de police de l’aéroport de Los Angeles recherchent activement une hôtesse de l’air de la compagnie JetBlue qui venait d’atterrir le 18 mars dernier vers 19h00 au terminal 4 de l’aéroport de Los Angeles international.
Habituellement, les bagages des membres des équipages sont rarement fouillés à l’arrivée. Pourtant, vers 19h30 les forces de sécurité décidèrent d’effectuer une inspection surprise.
Une hôtesse fut choisie, sans doute à la suite d’un contrôle aléatoire. A moins que ce ne soit suite à une dénonciation.
Elle fut isolée et contrôlée par la sécurité de l’aéroport. Ils trouvèrent presque 32 kilos de cocaïne (70 livres) contenue dans ses deux bagages à roulettes.
Découverte, la passeuse de drogue s’enfuit en courant, laissant ses chaussures derrière elle. Les forces de police et de sécurité la cherchent encore.
Son identité bien que sans doute connue n’a toujours pas été dévoilée.
Une source fiable proche des enquêteurs précise que le comportement de l’hôtesse paru étrange. Elle paraissait particulièrement nerveuse et passa un appel téléphonique dans une langue que les officiers de sécurité ne connaissaient pas.
Ce qui était suffisant pour la prier de scanner ses bagages ; l’officier de sécurité l’isola et lui demanda de présenter son badge de sécurité.
Démasquée, et bien que coincée dans une zone de sécurité isolée, l’hôtesse prit ses bagages à la main et ses jambes à son cou et s’enfuit précipitamment en prenant le premier escalator qu’elle trouva.
Peu de temps après, sans doute pour pouvoir mieux courir, elle abandonna ses bagages et ses escarpins Gucci pour s’enfuir plus rapidement et elle quitta le terminal pied nu. Comme Cendrillon.
Les autorités de police mirent un certain temps pour déterminer le vol sur lequel elle était arrivée. Toute la scène à été filmée par les caméras de sécurité de l’aéroport. La drogue a été placée sous séquestre en attendant que la passeuse soit retrouvée.
Depuis, elle doit toujours courir pieds nus. Comme une comtesse …
François Teyssier