Ouvert il y a déjà 30 ans, le Royal Palm Beachcomber s’est hissé depuis cette date au rang des hôtels les plus luxueux de l’île Maurice. La semaine dernière son Directeur général, Gregory Coquet, avait donné rendez-vous à une poignée d’aficionados au sein du Ritz Paris, un autre établissement légendaire lui aussi, pour un somptueux dîner, l’occasion de faire le point sur les nouveautés et la philosophie renouvelée du Royal Palm.
« Il faut dire que son intimité et sa confidentialité avec ses 69 suites face au lagon, au coeur d’un jardin tropical, séduit les amateurs les plus pointus. Mais le tout bien évidemment avec les infrastructures des plus grands palaces : une adresse hyper centrale, un restaurant étoilé, un spa avec 3 piscines chauffées, un golf de 18 trous et un bar branché« .
Cet inventaire à la Prévert, c’est Rémi Sabarros, le Directeur France des hôtels Beachcomber, accompagné de Véronique Ibrard, qui le dresse pour le plus grand plaisir des invités d’ailleurs déjà conquis, telle Pascaline Chabert, de Succès Voyages venue avec Olivier Glasberg, un éminent spécialiste du Luxe.
« Quelle belle rencontre ce soir entre Maurice et Paris » précisait-elle reconnaissant les prouesses tant des équipes du Ritz renouvelé que celle du Royal Palm présenté par Grégory Coquet.
L’établissement mauricien est ainsi passé de 84 à 69 clés avec des suites, habillées de jade et de turquoises notamment, signées Pierre Frey, Nobilis ou Fadini Borghi, toutes en xxl.
Et qui peut toujours s’appuyer, outre l’hébergement et la gastronomie exceptionnelle, sur sa plage, une des plus petites de l’île mais surement l’une des plus raffinée avec un service au cordeau (62 parasols) de plagistes habillés de chemise blanche et de bermuda au pli impeccable, tous dévoués au visiteur invité.
Un régal comme ce dîner somptueux au Ritz, plongé pour un soir dans l’atmosphère créole mauricienne intime et confidentielle à souhait.
PR