C’est à l’occasion de la réouverture du vaisseau amiral du Jumeirah Group à Londres, le Jumeirah Carlton Tower, que José Silva, le PDG du groupe, a fait une brève escale à Paris et en a profité pour recevoir La Quotidienne. Aaron Kaupp, Directeur Général du Carlton Tower, et qui est aussi Vice-Président Régional en charge des établissements du groupe à Londres et Francfort, avait lui aussi fait le déplacement.
Lorsqu’il fut inauguré en 1961 dans le quartier chic de Knightbridge, le Carlton Tower était le premier hôtel londonien 5* installé dans une tour, tour qui était aussi la plus haute de la ville à cette époque.
Avec son allure très moderniste, œuvre de l’architecte Henry End, et grâce à un service d’exception, le Carlton Tower devint très rapidement le lieu où il fallait être vu pour toutes les célébrités – on ne parlait pas de jet-set à l’époque.
Pour faire face à l’évolution de l’hôtellerie de luxe, il était devenu nécessaire au Carlton Tower de subir un traitement d’importance pour qu’il retrouve une nouvelle splendeur digne de son rang. Alors pas de demi-mesure ! 18 mois de travaux et plus de 100 millions de £, environ 120 millions d’euros, ont été consacrés à cette rénovation totale.
Les 17 étages ont été totalement repensés et dorénavant le Carlton Tower ne compte plus que 186 chambres et suites, toutes plus vastes et plus luxueuses que les 216 chambres d’origine.
La qualité des chambres va de pair avec la qualité du service qui est au cœur même de l’esprit Jumeirah. Et le service c’est le personnel.
Pour José Silva (photo ci-contre), le PDG du groupe, il faut que chaque employé ait envie de travailler pour l’entreprise tout en étant au service du client. C’est pourquoi il faut qu’il soit correctement rémunéré, qu’il soit fier de son travail et qu’il se sente bien.
A titre d’exemple José Silva cite la restauration pour laquelle les tenues du personnel ont été complétement revues, différentes et très élégantes, ce qui représente pour l’hôtel un investissement non négligeable de plus de 3.500 € par employé.
Parmi les nouvelles installations du Carlton Tower, les clients pourront découvrir le très beau spa et centre de bien-être qui y a été aménagé, le « Peak Fitness Club & Spa ».
Ils disposeront aussi d’une salle de yoga, d’une salle de fitness et d’une salle de sport avec des équipements dernier cri, offrant depuis le 9ème étage une magnifique vue panoramique sur Londres.
La piscine du Peak Club est la plus grande piscine de l’hôtellerie londonienne bénéficiant d’une lumière naturelle.
Avec un système de cartes de membres particulièrement sélectif le Peak va très vite devenir le club fitness & spa le plus couru et le plus tendance de la capitale. Le Peak dispose même d’un super lounge lumineux, et avec vue, réservé aux membres du club !
L’hôtel qui domine les Cadogan Gardens, vastes jardins privés, permet à ses hôtes d’y avoir accès et même de profiter de ses terrains de tennis dont l’usage est normalement réservé aux résidents du quartier.
Mais un hôtel Jumeirah se doit d’offrir en plus d’un service très haut de gamme, des lieux d’accueil et de restauration à la hauteur des attentes d’une clientèle exigeante.
A côte du hall d’accueil, « La Chinoiserie », est un grand lounge dont le restaurant ouvert en continu toute la journée, propose un « cake-o’clock » permanent avec pâtisseries et plats internationaux, ce qui en fera vite un lieu parfait pour des rendez-vous impromptus, retrouvant ainsi ce qui fit son attractivité dès l’origine.
C’est le Chef italien, Marco Calenzo, qui règne sur le restaurant signature du Carlton Tower, le restaurant Al Mare, offrant le meilleur d’une cuisine italienne traditionnelle et sophistiquée, qui pourra même être dégustée aux beaux jours sur des tables en extérieur. (Si, si, il ne pleut pas tous les jours à Londres).
Pour son Directeur Général, Aaron Kaupp, « l’ouverture du Jumeirah Carlton Tower est une lueur d’espoir dans une période extrêmement difficile pour tous. Nous aspirons à devenir à nouveau un acteur incontournable de la communauté londonienne, mais aussi un modèle en matière d’hospitalité de luxe dans le monde ».
Frédéric de Poligny