Festival BD d’Angoulême : la Quarantaine rayonnante !
1 février 2013 Rédaction Aucun commentaire À la une, France angouleme, Bastien Vives, BD, Comès, FIBD, Mickey & Donald, Moebus, Rock, Uderzo 3190 vues
Le programme du 40e Festival international de la bande dessinée (FIBD) d’Angoulême est à la hauteur des attentes suscitées par cette édition d’anthologie : expos, spectacles, rencontres inédites… à suivre ! Le président du jury Jean-Claude Denis aura, comme c’est l’usage, son exposition d’exception à l’hôtel Saint-Simon.
Une autre rétrospective sera, elle, consacrée à une gloire de la bande dessinée gauloise : Albert Uderzo. L’exposition Uderzo in extenso consacrera en effet l’immense talent d’un des dessinateurs les plus lus par les bédéphiles de tous âges et permettra de découvrir la très large palette du papa d’Astérix. Le festival nous convie également à une saga transgénérationnelle :
L’expo Mickey & Donald, tout un art dans la cour de l’hôtel de ville, qui reviendra sur l’histoire des personnages mythiques créés par Walt Disney. Au-delà de ces rétrospectives, c’est bien à une célébration de toutes les générations de la bande dessinée qu’il faut s’attendre puisque seront également exposés, entre de nombreux autres, Comès (Théâtre d’Angoulême), Jano (Vaisseau Moebius, ex-bâtiment Castro) ou les éditeurs-auteurs poitevins de The Hoochie Coochie (musée du papier). Nouvelle vague et cold wave Coôté spectacles vivants, pas moins d’ambition : le concert du samedi 2 février à La Nef s’annonce déjà comme l’événement branché du Festival, la rencontre de la nouvelle vague et de la cold wave.
Sur la même affiche, Bastien Vivès, l’étoile montante de la bande dessinée, et Lescop, la révélation rock, donneront un très chic coup de frais aux concerts dessinés.
Zep, le père de ces rencontres entre musique et dessin (avec Benoît Mouchart, le directeur artistique du Festival et le compositeur Areski Belkacem), n’entend d’ailleurs pas être en reste et proposera des concerts de dessins pour célèbrer comme il se doit les vingt ans de la deuxième houppette la plus célèbre de la bande dessinée francophone : Titeuf.
A l’image de ce marathon un peu fou, la 40e édition du FIBD s’annonce donc comme un grand moment de célébration du 9e art, ouvert à toutes les générations et à tous les continents !
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