La terre a tremblé à deux reprises au Chili, frappé mardi 1er avril par un séisme de magnitude 8,2 puis, le lendemain, par une réplique de magnitude 7,6 avec comme épicentre Iquique.
Le nord du pays craint désormais la survenue du «Big One», cette très grande secousse prédite par les experts à une date plus ou moins proche. Celle-ci est inéluctable mais pas imminente, estiment certains sismologues.
La Sous-Secrétaire du Tourisme, Javiera Montes, vient quand à lui d’informer, en accord avec une nouvelle évaluation réalisée par la Sous-Secrétaire du Tourisme avec le Service National du Tourisme, que l’activité touristique de l’extrême nord du pays continue de fonctionner normalement.
Les villes d’Arica, Iquique, situées à 1800 km de la capitale Santiago, ont enregistré un tremblement de terre de 8,3 degrés le mardi 1er avril. Les sites touristiques de ces régions, sont donc en condition de recevoir des visites, seules quelques routes restant endommagées.
Les aéroports de Chacalluta (Arica), Diego Aracena (Iquique) et Cerro Moreno (Antofagasta) opèrent de manière régulière, tous comme l’aéroport international Arturo Merino Benítez, situé à Santiago. Les ports, passe frontière et terminaux de bus de la région d’Arica sont opérationnels et dans lesquels il y a un centre d’information touristique pour orienter les passagers et touristes.