» Il y avait urgence à recréer de l’évènementiel fort, depuis le déménagement du salon à Paris « .
Ces propos de Thomas Desplanques, le patron de Top Résa, ont du résonner (même si la sono les ont sans doute couvert !) dans les oreilles du bon milliers de participants de la soirée de Mardi soir dernier, pour les 35 ans de l’IFTM Top Résa.
Depuis son installation à Paris, bon nombre de professionnels regrettait en effet la forte diminution du côté festif du salon.
Force est de constater que même les éternels sceptiques ont été bluffés.
L’avantage d’une météo clémente, le lieu exceptionnel ainsi que le casting des participants ont fait de cette soirée, en clôture de la première journée de travail, une éclatante réussite.
Aucun débordements n’a été signalé, les invités ont fait l’aller retour de la salle à la grande terrasse sous un tapis sonore très dynamisant et fortement apprécié.
» Nous avons voulu favoriser le networking et l’esprit de la fête » précise Thomas qui reconnait que la première journée du salon a été, pour lui et pour ses équipes, extrêmement dense.
Le jeune directeur, outre la pression de la présence de son directeur général accompagné du président du groupe Reed Exposition, l’organisateur du salon, a eu le mérite de ne jamais relâcher son attention notamment dans le respect du protocole avec la ministre Sylvia Pinel qui lui a semblé cette année » très à l’aise dans son discours inaugural et qui a pris un plaisir visible, pendant près de 3h30, à rencontrer les dirigeants du secteur « .
Concernant les chiffres de fréquentation, Thomas Desplanques est plutôt satisfait : » Nous constatons une augmentation de + 3 % de la fréquentation de la première journée (8 000 personnes, ndlr), en termes de visiteurs« .
Autre temps fort à venir, ce soir, avec la soirée du Village des to, qui battra à n’en pas douter, de nouveaux records (toute sorte de records d’ailleurs) animée par le maire du village, connaisseur reconnu en matière d’ambiance, le toujours excellent Guillaume Linton.
» Nous sommes contents et soulagés de voir qu’après un an de travail acharné, le message du salon passe de mieux en mieux » conclut Thomas Desplanques dans un sourire.
PR